Paloméra, tuc des Crabes

J’adore ce massif si différent du coté ariègeois; J’y suis allé deux fois par le Biros et par la vallée de Toran.

J’expérimente un nouveau point de départ plus rapide à partir du parking du Saut deth Pish dans la vallée de Varrados.

J’arrive la veille au soir, un seul van sur le parking (les camping cars sont interdits) et un gros orage en préparation:

En rouge: premier jour

En noir : second jour

Dénivelé: 2275 m

Remontée du barranc de Siesso, la cabane de Sèrra Escorjada:

Ca monte tranquillement, vallée sympathique.
Le plat à 2228 m:
Je monte au dessus de l’estanhola des Arméros à 2375 m.

L’estanh de Pica Paloméra, les ruines de la mine et le but : Tuc des Crabes au centre, pointu:
Je vais prendre toute la crête quasi plate jusqu’à Pica Paloméra.
Frontière avec le port d’Albe et le lac Long de Liat:
Toujours l’étang de Paloméra avec le Maubermé à droite:

L’objectif se précise:

L’estanh Nère de Uérri:
Petits laquets:
A Pica Paloméra, le Tuc des Crabes:

Descente vers le GR, puis remontée sur la crête menant au Tuc.

Au sommet, les lacs de Liscorn:

Passage par l’étang de Paloméra:

Petit laquet à 2335 m:

Puis celui à 2345 m:

Au pied du Tuc des Armèros déjà fait en 2018 :

Jusqu’au col de Varrados, ce sera vallonné :

Au plus grand des étangs à 2357 m:

La vallée de l’Arriu Unhola:

Le col est en vue, ,je vais y descendre puis monter dans le vallon à droite de l’arriu dera Princèla.

Je n’ai vu personne depuis le départ mais je compense avec beaucoup de catalans revenant de l’estanh des Trueites.

Le lieu de bivouac près du ruisseau:

Au lévé:

Estanh des Trueites:

et estanh dera Princèla:

Il y a ensuite un chemin (dessiné sur la carte) qui passe à coté du Tuc de Somont. De là je rejoindrai la piste à l’ouest.

A partir de l’étang des Trueites, il n’y a plus d’eau.

Au Tuc de Somont, descente directe vers la piste et la cabane deth Coret de Mont.

Je vais ensuite passer par la cabane dera Tuta dera Vop visible sur la photo au dessus de l’enclos puis la crête. De là , on aperçoit Vielha.

Arrivée sur la crête à coté de Montcarbau:

Descente pleine pente par une sente jusqu’à la piste; en face la vallée montée la veille:

La piste est agréable mais longue…

Le Saut deth Pish et la la piste menant au col de Varrados.

Deux jours à Soulcem

Après un bobo au pied et quelques jours de convalescence, je décide de reprendre doucement la rando avec deux balades à Soulcem.

Jour 1: Objectif, aller flirter avec la crête coté Canalbone

Départ de Soulcem:

Arrivée à l’étang supérieur de la Gardelle:

Et juste au dessus, à l’étang de Canalbone:

Un chemin monte dans le pierrier, le port de Canalbone, à droite ou à gauche ?

Je continue vers le col à droite à 2750 m, petit sommet à droite:

Sur ce sommet à 2780 m:

Et la crête frontière :

Vers le nord:
Je vais jusque sur la crête entre les cotes 2721 et 2849 sur la carte à 2800 m:

L’estany d’Areste:

Et vers l’Estat:

Je n’irai pas plus loin pour aujourd’hui.
L’abri du berger qui, selon lui, ne sert pas à grand chose:

Retour en vallée pas trop douloureux pour le pied en faisant attention.

Jour 2 : Pic de l’étang Fourcat

Je sais qu’il y a une voie directe mais je décide de passer par la frontière avec l’Andorre.

Etang de Caraussan:

Au port de Caraussans, et oui l’Andorre avec ses belles choses:

J’emprunte la crête jusqu’au pic Fourcat.

Le triste aménagement sur la pointe de Peyreguils:

La crête n’est pas si facile qu’il semblerait, il faut mettre un peu les mains et faire de l’évitement.

Au port de Tristaina, on peut prendre un sentier sur le flanc ouest pour éviter la crête, je le prendrais au retour.

Le pic en vue:

Au col, étangs de la Oussade, Fourcat et le petit étang Fourcat:

Au pic:

Estat:

Quelques mètres un peu pénibles à descendre et retour vers les petits étangs sous le port de Tristaina:

Et passage par la cabane de la bergère.

Retour par le raidillon vers Soulcem, le pied déguste un peu.

Finalement, pour une convalescence, ce n’était pas si mal !

à la Une

Pic de Serrère

Le pic de Serrère à 2912 m est facile d’Andorre, pas question pour moi de prendre le chemin des touristes, je reste en France !

J’adore l’Aston, c’est long, aucun balisage, quelques sentes à vaches piégeuses à souhait et personne.

Départ du bout de la route de la galerie au dessus du barrage de Riète à 1550 m.

Par le chemin dit « de Jojo », non tracé sur la carte, on rejoint la prise d’eau vers 1540 m et le chemin horizontal de la conduite.

Sur le chemin de Jojo:

Juste avant la prise d’eau:

Ruisseau de Quioulès:

La passerelle dite « pont de Jojo » permettant d’aller vers les étangs de Carau:

Le brouillard me poursuit, l’herbe est trempée. Arrivée à la passerelle à 1656 m au dessus du ruisseau de la Sabine:

Il faut ensuite descendre un peu pour rechercher la rive gauche du ruisseau venant de l’Estagnol.

Le brouillard joue avec moi:

Je suis trempé jusqu’à la taille. Juste avant l’Estagnol:

L’Estagnol, 10 min après, le brouillard a tout envahi.

Je vais monter à l’ouest sur la crête à un petit col sur la droite:

Sur la crête, je vais chercher le point 2282 m, le cheminement est sympa:

Tout prêt de la crête du Sal, elles ne voient pas grand monde, je suis l’attraction de la semaine:

Le voila le pic de Serrère au centre tout en rondeur:

Les deux étangs indiqués sur la carte sous le pic de l’Estagnol sont des mares fétides polluées par les vaches nombreuses.

Point de vue sur la crête du Sal: étang de Soulanet et pic de Thoumasset:

L’étang à 2446 m sous le pic de Serrère:

et le cabanon du vacher:

Je ne prend pas la voie normale par la Portella de la Cebollera mais le pierrier qui mène au col à 2702 m. C’est raide, faut pousser sur les bâtons.

Le pic du Sal:

Arrivée au col, ouf, coté Andorre la vallée de Sorteny:

La crête est facile, 200 m à avaler:

Vers l’est:

Crête vers le pic de la Cabaneta:

Descente au col à 2702 m et je continue jusqu’à la Portella de Cebollera.

Au col:

A la Portella à 2656 m. La descente est moins raide et surtout moins longue que celle du pierrier:

Je passe l’abri du vacher et l’étang par l’est et entame la descente du ruisseau de la Coume de Seignac jusqu’à 2200 m.

Bivouac dans le brouillard, le lendemain matin , il fait beau:

Début de descente facile au soleil:

Arrivée vers 1950 m, de grosses touffes d’herbes bien mouillées

puis du rhodo, des trous et des cailloux bien glissants:

Cabane de Bela:

La suite est facile:

Traversée du ruisseau de la Rebenne:

Et retour à la cabane de Quioules:

Sur le chemin de Jojo

et arrivée au parking à midi.

Vu personne pendant toute la balade.

J’adore encore plus ce coin de l’Aston !