Mi septembre, départ de l’Hospitalet-Près-l’Andorre.

La météo est tristounette, nuages hauts, brume en dessous, faibles risques de pluie. Le parcours est long, ce n’est pas gagné !

Montée par le GR T68 et à l’embranchement, direction étang de Pédoures.

A la retenue à 1984 m:

A l’étang de Pédoures, c’est la première fois que je vois la marque:

L’étang, je vais bientôt rejoindre le brouillard, le l’aurai un bref moment sur la crête:

L’étang de Couart:

Et le bel étang de l’Albe:

Juste au dessus de l’étang, 8 brebis esseulées, encore du bon boulot de l’éleveur; Il n’y avait aucun troupeau ni en France ni en Andorre.

Au col de l’Albe , je retrouve la brume.

Mais sitôt la Collada de Juclar, coté Andorre le beau temps. Les étangs de Juclar et le pic de Siscaro légèrement dans les nuages, je vais largement le contourner:

Descente et à 2000 m j’oblique par le GR de Siscaro:

Malgré un balisage récent, j’arrive à perdre le chemin ! Et bien entendu, je persévère dans mon erreur au lieu de faire demi tour. Conclusion, 2 ou 3 bonnes pentes et 100 m de plus à redescendre.

J’arrive au riu de Sisquéro:

Et le refuge:

La vallée est sympa, je monte vers les étangs de Siscaro et vers la Portella de Siscaro droit devant:

Je peine un peu pour arriver à la frontière ( 1800 m dans les jambes). Encore un petit effort de 80 m pour le pic:

Coté français, la vallée de Siscar:

Derrière, les étangs de Juclar, j’aurai pu monter en direct mais il y a beaucoup de cailloux:

Vers le pic d’Escobe:

Vallée de Siscaro:

Et vers le pic de la Cabaneta:

La descente à l’étang de Siscar est facile, il y a une sente cairnée.

Je retrouverai le brouillard vers 2100 m jusqu’à 1900 m.

Belle balade, peu de monde mais assez longue ( 10 h de marche).

Départ: parking du col de Pailhères, l’idée est d’aller au Roc Blanc et de revenir par le Tarbésou.

Brouillard intense au col, des gens attendent dans leur voiture…

En plus, du vent, de l’humidité et ça caille.

Avec du courage, j’y vais. Je prend le GR du Tour de Donezan. La météo s’améliore . Au col à 2176 m:

Etang Noir:

Etang Bleu:

Je continue le GR, le petit étang sous le Roc de Bragues:

Etang de l’Estagnet:

Et le col de l’Egue:

De l’autre coté, le brouillard s’intensifie, je continue en espérant …

Et j’arrive à la crête où le chemin passe sur l’autre versant. C’est pas mieux. Je pourrais attendre . Je préfère renoncer et demi tour.

Et bien entendu, c’est au bout d’une demi heure que ça commence à se dégager, étang des Llauses:

Retour au col de Lègue, le pic des Llauses:

C’est plus joli que dans le brouillard:

Montée sur la crête vers le Roc de Bragues:

Tarbésou au fond:

Suit une longue crête plutôt agréable:

Du pic, vue sur le parking. La descente est inintéressante.

Le pic vue du parking:

Départ: La Pucelle

Arrivée: Bocard d’Eylie

D+ : 1870 m

Avec 2 voitures, c’est pratique, ça évite de revenir sur ses pas tout en faisant une belle boucle.

Il faut monter jusqu’à la Fontaine de la Montagnette pour sortir du brouillard. Au fond, le port de l’Esque et le pic de Cornave:

A proximité du port d’Orle:

Au port, un groupe d’assistés ! Ils nous ont demandé ou était la France et l’Espagne !!

Jolie vallée descendant vers Montgarri:

Et, tout au loin, le pic de l’Homme:

A partir du port d’Orle et jusqu’à la base du pic, soit c’est plat, soit ça monte doucement.

La Mail de Bulard, un relief espagnol en contradiction avec le français:

Le dernier étang sous le Tuc de Colomèrs est intact (contrairement aux autre mares précédentes) et ça coule un peu. C’est la source de la Ribèra d’Orlà.

On monte sur la crête au sud, Tuc de Montoliu:

Et les Estahn Nere deth Horcalh:

Montée directe au pic de l’Homme:

Vers le sud:

Vers l’est, Mail de Bulard:

Et, … vers l’Ariège:

Lac de Montoliu:

Le Maubermé et le port d’Urets d’où nous allons descendre:

Un peu en dessous du Port:

C’est la descente du Port jusqu’au barrage d’Urets qui ma parue la plus longue; ensuite c’est plus varié.

Arrivée au Cirque de la Plagne:

Reste à chercher la voiture à La Pucelle mais ce sera après la bière, la douche et le repos!

Avec 2 bivouacs et 3300 m de D+, voici une belle boucle .

Je démarre du Pla de la Lau (vallée de Ribérot) vers 16 h.

Il faut prendre le GR10, puis à un moment déja décrit, traverser le Muscadet pour trouver le sentier confidentiel de la porte de Trémul:

J’ai choisi de monter au maximum jusqu’à ne plus trouver d’eau. Ce sera assez rapidement en sortie de forêt vers 1850 m. Un bivouac dans le brouillard.

Mais au matin, une belle mer de nuages:

Arrivée à la cabane de Trémul fermée. Vue sur la Porte de Trémul:

A la Porte:

La suite du parcours: en balcon jusqu’au col de Pécouch, puis la crête vers le Valier et le Valièrat.

Au col:

Le pierrier se traverse aisément, montée directe au Valiérat.

Au Valiérat, vue sur le Mont Valier:

Etangs de Milouga, Arauech et un bout de l’étang de Cruzous:

Je descend au col, vue sur le coté est que je connais bien : les Mourmoussons:

Au col, le glacier:

Je descend environ 40 m . C’est raide, limite. Je ne vais pas plus loin. A faire dans le sens de la montée sans problème, beaucoup d’herbe pour se tenir.

Je reviens au col de Pécouch, vue sur les étangs Rond et Long, le Barlonguére au fond:

Après l’hôtel / restaurant les Estagnous, je descend à l’étang Rond:

Puis une grimpette sévère à l’étang Long, je dépose mes affaires de bivouac.

Montée vers le col de la Pale de Clauère, les brumes s’invitent.

Au col, coté espagnol:

Je suis presque au sommet, plus de brouillard, YES !

Mais 10 min plus tard, au pic, je ne vois rien !

Descente à l’étang Long pour le bivouac, le ciel se dégagera en soirée.

Le lendemain, montée au Port de Barlonguère; on voit le col et le pic de la Pale de la Clauère:

Sur le crête frontière, objectif : pic de Barlonguère au fond par la crête.

Il y a des raccourcis mais je fais intégralement la crête.

Plan de Béret:

C’est assez long, ça monte ça descend … Dernier pic avant le col:

Noguerra Pallaresa, magnifique vallée:

Au col, plus que 120 m pour le pic mais je renonce. l’étang du Tuc du Mil:

Puis longue descente dans cette belle vallée de Peyralade: