Pic de l’Har par la crête est

Vu du pic de Paumade, la crête en second plan:

J’avais déjà gravi le pic par la face nord . Il me restait à le grimper par la crête nommée Montagne d’Ourdouas.

J’avais également remonté toute la conduite d’eau jusqu’à la cheminée d’équilibre sous le Tuc des Ours. C’est donc en continuité.

Départ Eylie

Un peu avant d’arriver au col des Cos, verdoyant.

A la cabane, je prends la sente indiquée sur la carte en direction de la cabane d’Ourdouas:

Je vois 4 pièges photographiques pour épier les ours.

Arrivée dans la cuvette sous le Tuc des Ours. On distingune sur la crête vers la gauche le réservoir de la cheminée d’équilibre. C’est l’objectif.

Le choix du passage est évident, une montée bien raide agrémentée des rhodos, bref de l’ariègeois.

J’aurai pu aussi monté par le cirque:

Arrivée à la cheminée, on distingue la conduite que j’avais remontée:

De l’autre coté, le réservoir et au fond le pic de l’Har. C’est encore loin !

Maubermé et couloir de Tartereau:

Zoom sur le passage délicat:

GR et ruines:

Et bien, ça promet, si tout le parcours est comme les 100 m que je viens de faire !

Justement, la suite parait aérienne:

Finalement, tout va bien, aucune difficulté et une crête a cheminement sympathique.

La sente reste très discrète (voire inexistante sur certaines portions) empruntée principalement par les brebis. Je m’attendais à un plus fort passage humain au vu de l’absence de difficultés techniques.

Cabanes de Bentaillou et Serre Haute:

Grotte des Corneilles

Toute la crête:

Le final est pentu mais facile:

Au sommet:

Maubermé:

The Boss:

Etang d’Araing et Crabère:

Descente longue par le GR:

Et arrivée au parking avec le célèbre panneau:

1490 m de dénivelé, c’est tout de même assez long mais je recommande.

Col du Cruzous

Départ du Pla de La Lau à 920 m.

En cette belle saison automnale, je démarre assez tardivement dans la matinée.

Montée par le GR, arrivée à la cabane d’Aouen à 1600 m:

Encore 300 m de lacets pour rejoindre l’intersection à 1902 m, la température est désormais négative.

Valier et le col du Cruzous sur la gauche:

A la cabane de Taus, je prends le chemin de la cabane d’Espugnes.

A la cabane d’Espugnes:

Etangs d’Arech et Milouga:

A l’approche de l’étang de Cruzous:

L’étang et le col:

Un peu raide:

Arrivée au col de Cruzous (2336 m):

La combe de Lamech et le vallon d’Arcouzan que je connais bien:

Vers le Pomebrunet. Je suis parti trop tard, je renonce à faire les plus de 200 m raides pour le Pomebrunet.

Vers la crête des Antiques:

Au retour:

Ventolau et Coma del Forn en boucle

Départ de la station de la Pleta ( Tavascan) à 1690 m.

Le début de la montée vers la cabana de Crestuix est sèche, la station :

300 m plus haut, la cabane ouverte:

Rencontre …

Vallée de Tavascan:

En contrebas, l’estany de Mascaro:

Le pic de la Coma del Forn et le coll del Forn. Estanys de la Coma del Forn:

Le brouillard me rattrape sur la crête:

Pic des Tres Estanys et pic de Ventolau:

Le sommet:

Estany de Ventolau:

Estanys de la Gallina et Mont Rouch:

Tres Estanys:

Probablement un des plus beaux points de vue des Pyrénées.

En 2017, j’étais monté par cette crête nord:

Descente au collet del Tres Estanys, un chemin rejoint les étangs.

Je coupe direct vers le coll del Forn:

Au col:

150 m de montée pour atteindre le pic de la Coma del Forn:

Au pic:

Le pic de Ventolau:

Estanys du Diable et de Mascarida de Dalt:

Descente vers la station:

Paloméra, tuc des Crabes

J’adore ce massif si différent du coté ariègeois; J’y suis allé deux fois par le Biros et par la vallée de Toran.

J’expérimente un nouveau point de départ plus rapide à partir du parking du Saut deth Pish dans la vallée de Varrados.

J’arrive la veille au soir, un seul van sur le parking (les camping cars sont interdits) et un gros orage en préparation:

En rouge: premier jour

En noir : second jour

Dénivelé: 2275 m

Remontée du barranc de Siesso, la cabane de Sèrra Escorjada:

Ca monte tranquillement, vallée sympathique.
Le plat à 2228 m:
Je monte au dessus de l’estanhola des Arméros à 2375 m.

L’estanh de Pica Paloméra, les ruines de la mine et le but : Tuc des Crabes au centre, pointu:
Je vais prendre toute la crête quasi plate jusqu’à Pica Paloméra.
Frontière avec le port d’Albe et le lac Long de Liat:
Toujours l’étang de Paloméra avec le Maubermé à droite:

L’objectif se précise:

L’estanh Nère de Uérri:
Petits laquets:
A Pica Paloméra, le Tuc des Crabes:

Descente vers le GR, puis remontée sur la crête menant au Tuc.

Au sommet, les lacs de Liscorn:

Passage par l’étang de Paloméra:

Petit laquet à 2335 m:

Puis celui à 2345 m:

Au pied du Tuc des Armèros déjà fait en 2018 :

Jusqu’au col de Varrados, ce sera vallonné :

Au plus grand des étangs à 2357 m:

La vallée de l’Arriu Unhola:

Le col est en vue, ,je vais y descendre puis monter dans le vallon à droite de l’arriu dera Princèla.

Je n’ai vu personne depuis le départ mais je compense avec beaucoup de catalans revenant de l’estanh des Trueites.

Le lieu de bivouac près du ruisseau:

Au lévé:

Estanh des Trueites:

et estanh dera Princèla:

Il y a ensuite un chemin (dessiné sur la carte) qui passe à coté du Tuc de Somont. De là je rejoindrai la piste à l’ouest.

A partir de l’étang des Trueites, il n’y a plus d’eau.

Au Tuc de Somont, descente directe vers la piste et la cabane deth Coret de Mont.

Je vais ensuite passer par la cabane dera Tuta dera Vop visible sur la photo au dessus de l’enclos puis la crête. De là , on aperçoit Vielha.

Arrivée sur la crête à coté de Montcarbau:

Descente pleine pente par une sente jusqu’à la piste; en face la vallée montée la veille:

La piste est agréable mais longue…

Le Saut deth Pish et la la piste menant au col de Varrados.

Deux jours à Soulcem

Après un bobo au pied et quelques jours de convalescence, je décide de reprendre doucement la rando avec deux balades à Soulcem.

Jour 1: Objectif, aller flirter avec la crête coté Canalbone

Départ de Soulcem:

Arrivée à l’étang supérieur de la Gardelle:

Et juste au dessus, à l’étang de Canalbone:

Un chemin monte dans le pierrier, le port de Canalbone, à droite ou à gauche ?

Je continue vers le col à droite à 2750 m, petit sommet à droite:

Sur ce sommet à 2780 m:

Et la crête frontière :

Vers le nord:
Je vais jusque sur la crête entre les cotes 2721 et 2849 sur la carte à 2800 m:

L’estany d’Areste:

Et vers l’Estat:

Je n’irai pas plus loin pour aujourd’hui.
L’abri du berger qui, selon lui, ne sert pas à grand chose:

Retour en vallée pas trop douloureux pour le pied en faisant attention.

Jour 2 : Pic de l’étang Fourcat

Je sais qu’il y a une voie directe mais je décide de passer par la frontière avec l’Andorre.

Etang de Caraussan:

Au port de Caraussans, et oui l’Andorre avec ses belles choses:

J’emprunte la crête jusqu’au pic Fourcat.

Le triste aménagement sur la pointe de Peyreguils:

La crête n’est pas si facile qu’il semblerait, il faut mettre un peu les mains et faire de l’évitement.

Au port de Tristaina, on peut prendre un sentier sur le flanc ouest pour éviter la crête, je le prendrais au retour.

Le pic en vue:

Au col, étangs de la Oussade, Fourcat et le petit étang Fourcat:

Au pic:

Estat:

Quelques mètres un peu pénibles à descendre et retour vers les petits étangs sous le port de Tristaina:

Et passage par la cabane de la bergère.

Retour par le raidillon vers Soulcem, le pied déguste un peu.

Finalement, pour une convalescence, ce n’était pas si mal !

Pic de Serrère

Le pic de Serrère à 2912 m est facile d’Andorre, pas question pour moi de prendre le chemin des touristes, je reste en France !

J’adore l’Aston, c’est long, aucun balisage, quelques sentes à vaches piégeuses à souhait et personne.

Départ du bout de la route de la galerie au dessus du barrage de Riète à 1550 m.

Par le chemin dit « de Jojo », non tracé sur la carte, on rejoint la prise d’eau vers 1540 m et le chemin horizontal de la conduite.

Sur le chemin de Jojo:

Juste avant la prise d’eau:

Ruisseau de Quioulès:

La passerelle dite « pont de Jojo » permettant d’aller vers les étangs de Carau:

Le brouillard me poursuit, l’herbe est trempée. Arrivée à la passerelle à 1656 m au dessus du ruisseau de la Sabine:

Il faut ensuite descendre un peu pour rechercher la rive gauche du ruisseau venant de l’Estagnol.

Le brouillard joue avec moi:

Je suis trempé jusqu’à la taille. Juste avant l’Estagnol:

L’Estagnol, 10 min après, le brouillard a tout envahi.

Je vais monter à l’ouest sur la crête à un petit col sur la droite:

Sur la crête, je vais chercher le point 2282 m, le cheminement est sympa:

Tout prêt de la crête du Sal, elles ne voient pas grand monde, je suis l’attraction de la semaine:

Le voila le pic de Serrère au centre tout en rondeur:

Les deux étangs indiqués sur la carte sous le pic de l’Estagnol sont des mares fétides polluées par les vaches nombreuses.

Point de vue sur la crête du Sal: étang de Soulanet et pic de Thoumasset:

L’étang à 2446 m sous le pic de Serrère:

et le cabanon du vacher:

Je ne prend pas la voie normale par la Portella de la Cebollera mais le pierrier qui mène au col à 2702 m. C’est raide, faut pousser sur les bâtons.

Le pic du Sal:

Arrivée au col, ouf, coté Andorre la vallée de Sorteny:

La crête est facile, 200 m à avaler:

Vers l’est:

Crête vers le pic de la Cabaneta:

Descente au col à 2702 m et je continue jusqu’à la Portella de Cebollera.

Au col:

A la Portella à 2656 m. La descente est moins raide et surtout moins longue que celle du pierrier:

Je passe l’abri du vacher et l’étang par l’est et entame la descente du ruisseau de la Coume de Seignac jusqu’à 2200 m.

Bivouac dans le brouillard, le lendemain matin , il fait beau:

Début de descente facile au soleil:

Arrivée vers 1950 m, de grosses touffes d’herbes bien mouillées

puis du rhodo, des trous et des cailloux bien glissants:

Cabane de Bela:

La suite est facile:

Traversée du ruisseau de la Rebenne:

Et retour à la cabane de Quioules:

Sur le chemin de Jojo

et arrivée au parking à midi.

Vu personne pendant toute la balade.

J’adore encore plus ce coin de l’Aston !

Baborte, Sotllo

pic de Baborte 2934 m

pic de Sotllo 3073 m

Serrat de la Llaguna 2652

D+ : 2820 m

Départ : Pla de Boavi 1363 m

Montée par le riu de Sellente, à la cabane de Sellente AR à l’estany de Rovinets où des filets sont disposés pour capturer les vairons.

Au Planel de Sant Pau, j’oblique vers la Riberra de Canedo que je vais remonter jusqu’à l’étang de Canedo.

Une vue prise au retour le lendemain:

Une montée raide à prendre rive droite. La première fois, je l’avais descendu dans le torrent.

Après un gros effort, on arrive sur un faux plat plus agréable:

Etang de Canedo:

et vue sur le pic de Baborte et le col de Canedo où il faut monter.

Il y a une sente dans le pierrier mais cachée par le névé, je monte mi neige mi pierrier croulant.

Au col, les estanys de la Coma de Sotllo:

Crète facile jusqu’au pic de Baborte:

Au pic, l’étang de Baborte:

L’Estat à droite et le pic de Sotllo: deuxième objectif de la journée en partant de l’estany, le névé, le pierrier, le col et la crête sud.

Estanys Sotllo et Fondo:

Estany Canedo:

Je redescend au col de Canedo:

puis aux estanys de la Coma de Sotllo:

Le chemin est long jusqu’au Sotllo:

Arrivée aux estanyets de Sotllo et début de montée dans le pierrier, vue sur le pic de Baborte:

Sur la crête sud du Sotllo:


Que du caillou, vue sur le sommet:

Au sommet, l’Estat:

Coté Broate:

Estanys d’Estats et de Sotllo:

Vue sur la Coma de Sotllo:

Retour au pied du Baborte:

et du Sotllo, bivouac:

Le lendemain, passage au col de Baborte:

et par les étangs du cirque de Baborte:

puis après passage de petits cols, arrivée aux estanys de la Llaguna:

L’étang le plus élevé et le Tres Pics:

Au col, à 2570 m, il n’est pas possible de descendre coté nord, je prends la crête jusqu’à Serrat de la Llaguna:

Au sommet, vue sur les estanys del Torn:

Descente douce au col puis retour vers le riu de Sellente, pas mal de cailloux:

Au pla de Boavi:

Pic de Montaud (2495 m)

Un bon dénivelé pour cette première grosse rando de l’année. Mois de mai, la météo est au top, du hors sentier et une belle crête en perspective.

Départ du parking de Salau (980 m)

Juste avant la cabane de Pouill, au niveau de la traversée du torrent, je prend le chemin dessiné sur la carte qui part vers l’est.

Très rapidement, ce chemin disparaît à un pilier de l’ancien téléphérique.

Arrivé au col entre la Serre de Bougnos et Lane Formente, je retrouve le sentier qui descend dans la combe pour ensuite remonter. Je choisi le parcours de crête sans problème jusqu’à Lane Formente.

Je vois très rapidement le sommet indiqué à 2430 m avant le pic de Montaud, ça m’induit un peu en erreur.

A gauche le pic à 2430 m:

Le port de Salau et le pic de Quenca:

Le pic de Montaud est caché derrière:

Crête parcourue:

Arrivé au point 2430 m, on découvre enfin le pic de Montaud. C’est encore loin, un coup de fatigue, un début de crampe, j’hésite… Pas longtemps !

Depuis Lane de Formente, la crête est agréable jusqu’au pic de Montaud.

Au sommet vers les Monts Rouch:

La crête frontière vers le Valier:

Encantats:

Puis par la crête frontière, je descend coté français juste avant le pic de Portanère sur un long névé bienvenu vers la cabane du berger.

Retour classique par le GR.

Une belle journée avec des paysages en blanc et en vert.

Tuc de Montoliu 2660 m

Départ du parking de La Pucelle en vallée d’Orle (881 m).

C’est loin, long mais le Tuc est un superbe belvèdére.

Par le GR, je rejoins le Port d’Orle puis par le Camin des Francesi les mines deth Horcalh.

Des mines, le cheminement sera plus aléatoire jusqu’au pied du Tuc de Montoliu.

Une belle journée s’anonce:

Port d’Orle:

Le chemin menant à la mine est plat, c’était l’ancienne voie Decauville amenant le minerai au téléphérique coté français.

Au centre droit, la Mail de Bulard:

La vallée d’Horcalh:

A la mine:

A 2368 m , le pic du Port d’Orle en premier plan et le pic de Barlonguère au fond:

Je remonte les mares:

Jusqu’à l’étang à 2490 m sous le tuc de Colomèrs:

Sur la crête au dessus de l’estanh Nere deth Horcalh:

Valier:

Tuc de Montoliu au centre et Tuc de Parros:

Aneto:

Esthanh Nere deth Horcalh:

A l’étang, le Tuc, je vais monter par le seul passage évident à gauche:

La montée ne pose aucun problème.

Au sommet:

Maubermé:

Aneto et col de Varrados:

Lac de Montoliu:

Je redescend, le Tuc de Parros:

Je vais rejoindre les mines par le chemin:

Grotte des Corneilles

Départ d’Eylie dans le Biros à 920 m; la grotte est à 2400 m.

L’idée est de visiter la grotte des Corneilles sous le Portillon d’Albe en passant par le gouffre Martel et une montée sans lacets par la conduite.

A Eylie, j’emprunte le sentier qui va au col de Cos. A 1040 m, je quitte ce sentier pour monter le long de la conduite d’eau alimentant la centrale électrique. Cette eau vient en partie du barrage d’Uret et principalement de l’étang d’Araing.

Va suivre une montée assez raide et dans l’humidité pendant 800 m jusqu’à la cheminée d’équilibre sous le Tuc des Ours.

Arrivée au niveau de la source de la Souarède à sec:

Vu vers le haut, du brouillard m’attends:

Arrivée enfin sur le faux plat visible depuis le début:

Un moment de répit:

Le Tuc de la Roucasse. Le chemin tracé sur la carte menant à la station de Rouge existe bien.

Vers la frontière:

La suite, ça raidi de nouveau. En espérant qu’à la cheminée d’équilibre, je puisse passer:

Arrivée à la cheminée, une échelle, pas de clôture:

Un peu au dessus, au col:

Sur la plateforme:

Le chemin menant aux mines de Bentaillou:

Couloir de Tartereau:

Aux mines, je file vers l’étang de Chichoué:

Le gouffre Martel, il faudrait descendre:

Du gouffre, on aperçoit la grotte:

Dans la grotte, point de corneilles, un boyau semble partir.

L’étang de Floret:

Je pousse jusqu’à l’étang d’Albe:

Puis Floret:

Chichoué:

Descente par le GR.